Una de las preguntas que más nos hacemos es ¿Por qué?Desde que somos pequeños nos enseñan que todo tiene una causa. De hecho, los niños tienen una época en la que parecen ametralladoras del ¿Por qué? ¿Por qué el cielo es azul? ¿Por qué llueve? ¿Por qué tienes que trabajar? Y los padres, con paciencia infinita contestan como pueden a todas esas preguntas.
Lo que no se nos enseña al crecer es que no siempre hay una causa para todo. A veces las causas son muchas, otras veces son demasiado complejas para poder explicarlas, y otras veces simplemente no existen.
La ausencia de respuestas puede ser frustrante. Los hay que no se molestan en llegar al fondo de sus dudas y se inventan las respuestas. Lo llaman fe, y dicen que no necesita más explicaciones. Que hay que creer, que con eso se arregla todo. Y es cierto que la fe proporciona soluciones a muchas preguntas ¿De dónde venimos? ¿Dónde vamos? ¿Por qué yo?
Respeto profundamente a las personas capaces de creer de corazón en algo que no son capaces de explicar. Viven mucho más felices y tranquilos que los que no creemos en nada.
Como decía, la ausencia de respuestas puede ser frustrante, y hay también un grupo de personas que se esfuerzan día a día en encontrar explicaciones empíricas a sus preguntas. Son los científicos. El tópico dice que son descuidados, desordenados, ausentes, que están un poco locos. Todos tenemos en mente a Einstein con su peculiar peinado gritando aquello de E=mc2. Pero no es cierto.
Las personas dedicadas a la ciencia son creativas, observadoras, críticas. No se satisfacen de respuestas enlatadas en libros, ni místicos ni científicos. Miran a su alrededor y encuentran soluciones a los problemas, ya sea para mejorar las condiciones de vida de los demás, o para dar explicación a los fenómenos que nos rodean.
Admiro a todas esas personas que dedican su vida a perseguir incógnitas. A hacer ensayos repetitivos una y otra vez, a pasar su vida en un laboratorio y no se resignan a aceptar la realidad tal y como viene dada.
Un poco más de espíritu crítico, por favor. Nos iría mejor a todos si fuéramos capaces de cuestionarnos lo que nos rodea, constantemente.
La purée c'est plus facile à avaler qu'un steack qu'il faut macher :-) Aujourd'hui, radio, télévision, ou encore presse écrite nous inondent inlassablement d'informations présentées comme des axiomes... pourtant bon nombre de ses informations devraient être vérifiée et/ou analysées.
ResponderEliminarJe laisse volontairement Internet de coté : lieu de perversions ou les 'vraies fausses vérités' cotoie les 'faux vrais monsonges', et ou l'internaute doit posséder un esprit critique à toute épreuve pour faire le tri dans cette masse gigantesque d'information.
Un exemple parmis d'autre à la une d'un journal :
"La pilule minceur (*) enfin disponible" et un article associé vantant la grande nouveauté et les resultats spectaculaires du produit miracle... les faits sont tout autres... ce médicament est sans contestation une avancée thérapeutique pour une partie des personnes obéses, mais n'est nullement un traitement miracle (comme le laisse penser l'article) qui pourrait être éfficace chez tous et qui de plus pourrait (toujours d'après l'article) être utiliser pour un petit régime...
La lecture d'articles un peu plus précis sur le sujet montre que le médicament est efficace... certe... mais dans certain cas d'obésité sévère, associé à un régime alimentaire adapté... ça fait déjà un peu moins miracle :-)
(*) rimonabant / Sanofi-Aventis.
Ce gobage de données est malheuresement présent et imposé dans l'éducation des enfants à l'école (tout du moins en France) : il est souvent plus facile de faire des leçons à apprendre par coeur, plutôt que d'expliquer que tout commence par l'observation... et ensuite de raisonner sur cette observation pour en tirer des conclusions.
Manque de temps, manque de moyens... certainement. Manque de volonté : indiscutablement.
J'ai eu la chance d'avoir à certains moments clefs de ma scolarité des enseignants passionnés qui m'ont apris à observer (ce n'est pas toujours facile) , à analyser et interpréter les données (c'est encore plus dur, surtout lorsque l'on tente de décryter les observations d'une femmes :-)... Ces choses sont essentielles pour s'adapter à pratiquement toute les situations.
Sinon jolie photographie pour cet article. En l'observant je pense que tu l'as prise toi même (le cadrage :-), mais pas dans un laboratoire ou un musée (la nappe jaune et la paillasse en paille)... peut être chez toi. Le portoir bleu et celui d'un jeux de chimie (jai eu chimie 2000 aussi :-). Il y a de la verrerie contemporaine (réfrigérent, ballons pyriformes), mais aussi plus ancienne (Erlenmayer à long col). Si tu as ce genre de chose chez toi, tu as sans doute environ 30 ans (a cause de la boite chimie 2000), de formation scientifique (il faut aimer la verrerie de laboratoire en déco) et tu as déjà travaillé dans un laboratoire (pour pouvoir récupérer la dite verrerie)...
Alors bonnes observations et bonnes conclusions ?