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viernes, 4 de enero de 2008

Netscape desaparece, el fin de las "Browsers Wars"




Una de las cosas buenas de hacer un MBA es la enorme cantidad de casos prácticos que se ven al cabo del año, sobre sectores y empresas completamente diferentes.

Uno de los casos más llamativos (desde mi punto de vista, por supuesto) es el de las "Browsers wars" o Guerra de los navegadores. Cómo Netscape pasa de dominar el mercado, con más del 90% de cuota, al 0,6% que tiene actualmente. Una caída a los infiernos motivada tanto por fallos propios como por una estrategia ilegal (existen varias sentencias condenatorias) por parte de Microsoft para posicionar su Explorer como estándar de la web.

Este no es el lugar ni el momento de comentar el caso. Lo que me llama la atención es que habrá que revisarlo porque en febrero de este año que acaba de empezar, se apagará para siempre el faro de Netscape Navigator.

Por un lado es una pena que desaparezca el programa con el que muchos aprendimos a navegar por estas aguas turbulentas. Por otro, la prueba de que el mercado es libre y sólo sobreviven los mejor adaptados al medio, los que consiguen evolucionar y dar al consumidor lo que quiere o lo que necesita.

Así, a Netscape le ha salido un digno sucesor en la figura de Firefox. Con un 20% de cuota de mercado en España y más de 400 millones de descargas en el mundo, el navegador de Mozilla sigue pisando fuerte y seduciendo cada vez más a los internautas. Como dato anecdótico, el 83% de los lectores de este blog usáis Explorer, 12% Firefox, 4,6% Safari, y los flecos que quedan son para Opera y Mozilla. Todo un éxito, sabiendo que hace casi un año, los usuarios de Firefox no llegaban al 5%, y los de otros navegadores eran inexistentes.

miércoles, 27 de junio de 2007

Qualité

J’imagine que vous avez remarqué la baisse de qualité des articles de ce blog le dernier mois. En tout cas, c’est sur que je traverse un moment assez tendu. La fin du MBA, la recherche de travail, les examens, et toute la tension de la fin d’une étape m’ont fait perdre l’inspiration habituelle.

Les périodes de transition sont toujours difficiles, que ce soit dans la vie privée ou professionnelle. S’adapter aux nouvelles circonstances exige un effort et une certaine introspection et je pense qu’il faut prendre le temps de se connaître un peu plus et de fixer des objectifs clairs. Si on se lance dans le changement la tête baissée et les yeux fermés, le risque de commettre des erreurs augmente.

Par contre, l’absence de mouvement, d’adaptation et de changement ne conduit nulle part. C’est sur que ça effraye, et que ce n’est pas évident de se remettre en question, mais la récompense attend au bout du chemin, que ce soit la possibilité de travailler dans un environnement agréable, de vivre là où on a toujours rêvé, d’apprendre une langue ou de pratiquer un sport qu’on aime.

Le changement est nécessaire à la vie. Stagner dans la routine peut donner un semblant de sécurité, mais ce n’est qu’une apparence, puisque rien n’est permanent. Cette pensée est le cœur de la philosophie bouddhiste, le changement perpétuel, et si je ne suis pas d’accord avec d’autres points de cette religion, j’approuve sans réserves le besoin de nouveautés. Le désir d’être meilleur fait partie de chacun d’entre nous, et je ne veux pas parler ici de succès matériel, ni spirituel, simplement du fait de se sentir bien avec soi-même et de la merveilleuse sensation de se savoir là où il faut quand il le faut.

Les métamorphoses exigent toujours une énorme quantité de ressources, l’être qui sort de l’autre côté n’est jamais le même, il a appris, mûri, changé. Le problème que beaucoup voient est la douleur inhérente au processus, inévitable celle là. Moi je ne peux que répondre par une métaphore qui, même très utilisée, n’a rien perdu de sa fraîcheur. La chenille a surement peur avant de s’enfermer dans un cocon, et ça fait probablement très mal d’avoir des pattes et des ailes qui poussent de partout, mais si ce n’était pas pour ça, elle ne pourrait pas se reproduire, ni regarder son monde de l’air. Si elle refusait de s’enfermer dans un cocon pour en ressortir papillon, elle passerait sa vie à ramper, tout près du sol, sans jamais voir l’horizon, sans même savoir que l'horizon existe.