Le nombre de femmes qui se font tabasser à mort par leurs partenaires tous les ans en Espagne est ahurissant. Ça, c'est un fait. Ça a été dénnommé « violence de genre » par les médias et les autorités. Je n'a jamais trop compris cette différenciation entre violences... En quoi c'est pire l'homme qui frappe sa femme ou la femme qui frappe son mari? Ou l'homme qui frappe ses enfants? Ce sont tous des exemples de violence domestique, surnoise, commise par les personnes les plus proches, censées protéger les victimes et pas les maltraiter à mort.
Ce scénario mena alors à l'approbation de la « Loi organique de protection intégrale contre la violence de genre » , une loi qui prescrit des peines doubles si l'agresseur domestique est un homme.
C'est une loi qui fait la différence entre un délit commis par une femme et un délit commis par un homme.
Evidemment, pas mal de juristes ont mené l'affaire de tribunal en tribunal jusqu'au Constitutionnel. Et là, les juges du plus haut tribunal du pays ont surpris tout le monde quand ils ont déclaré cette loi conforme à la Constitution. Où, néanmoins, c'est écrit noir sur blanc que « tous les espagnols sont égaux face à la loi sans distinction de genre, religion, races, etc. » alors je ne sais pas comment ils ont réussi à reconcilier les deux choses.
Violence c'est violence. Qu'elle soit exercée contre une femme, un homme, un enfant, par qui que ce soit, elle doit être punie de la même façon, et pas en fonction de ce que l'on a entre les jambes.
Il faut encourager les victimes de violence domestique à dénoncer, il faut les protéger de leurs bourreaux, mais punir de façon différente les hommes et les femmes ne peut qu'aboutir à des abus. En quoi c'est différent une femme qui frappe un homme ou un homme qui frappe une femme? J'attends toujours une réponse, mais pendant ce temps là, de plus en plus d'hommes sont faussement accusés et de plus en plus d'hommes n'osent pas dénoncer.
Encore une mauvaise mesure qui vise l'égalité entre les genres favorisant les femmes. Encore une bourde de nos dirigents. Encore et encore...
Ce scénario mena alors à l'approbation de la « Loi organique de protection intégrale contre la violence de genre » , une loi qui prescrit des peines doubles si l'agresseur domestique est un homme.
C'est une loi qui fait la différence entre un délit commis par une femme et un délit commis par un homme.
Evidemment, pas mal de juristes ont mené l'affaire de tribunal en tribunal jusqu'au Constitutionnel. Et là, les juges du plus haut tribunal du pays ont surpris tout le monde quand ils ont déclaré cette loi conforme à la Constitution. Où, néanmoins, c'est écrit noir sur blanc que « tous les espagnols sont égaux face à la loi sans distinction de genre, religion, races, etc. » alors je ne sais pas comment ils ont réussi à reconcilier les deux choses.
Violence c'est violence. Qu'elle soit exercée contre une femme, un homme, un enfant, par qui que ce soit, elle doit être punie de la même façon, et pas en fonction de ce que l'on a entre les jambes.
Il faut encourager les victimes de violence domestique à dénoncer, il faut les protéger de leurs bourreaux, mais punir de façon différente les hommes et les femmes ne peut qu'aboutir à des abus. En quoi c'est différent une femme qui frappe un homme ou un homme qui frappe une femme? J'attends toujours une réponse, mais pendant ce temps là, de plus en plus d'hommes sont faussement accusés et de plus en plus d'hommes n'osent pas dénoncer.
Encore une mauvaise mesure qui vise l'égalité entre les genres favorisant les femmes. Encore une bourde de nos dirigents. Encore et encore...
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